Sortie en 1990, la Mercedes-Benz 500E, avec son moteur V8 et sa carrosserie bodybuildée de manière subtile était le modèle le plus haut de gamme proposée par la marque au moment de sa sortie. Elle a été pendant longtemps l’un des modèles « young classic » les plus désirés de la marque allemande. À première vue, nous dirions de cette 500 E qu’elle est modeste d’apparence. Elle présente tout de même des ailes volumineuses, un look rabaissé et un pare-chocs avant modifié avec des phares anti-brouillard la différenciant des autres modèles de la marque à cette époque. Rien de spécial nous diriez-vous, en effet, mis à part la desciption faite précédement, la 500 E ne présente pas énormément d’éléments distinctifs. Il y a seulement un petit détail à aborder la rendant donc si spéciale… Son moteur… 8 cylindres en V (V8), 5 litres, produisant une puissance 326 ch (240 kW) rendant donc cette supposée simple et modeste Mercedes en véritable machine. « A wolf in sheep’s clothing ». Modeste et simple de l’extérieur, confort et sobre à l’intérieur (saloon) mais vous garantissant tout de même de laisser votre voisin de feu rouge dans votre rétroviseur. 0 à 100 km/h en 6,1 secondes avec une vitesse de pointe limitée électroniquement à 250 km/h. Bref, des performances digne d’une voiture de sport.
La production de la 500 E était divisée : la production de la carrosserie jusqu’à sa peinture était fait chez Mercedes-Benz à Sindelfingen alors que l’assemblage final des composants fournis par Sindelfingen et Untertürkheim étaiot traité par Porsche à Stuttgart-Zuffenhausen.
Cela permit de produire la bien-connue Mercedes-benz 500 E. Elle disposait d’une transmission automatique à 4 vitesses prise de la 500 SL. Cette transmission, couplée au V8 5 litres de 326 ch, fait de cette Mercedes-Benz 500 E une vraie routière alliant confort, élégance et sportivité et tout cela réunis sous un look intemporel et iconique à la hauteur de l’image de la marque Allemande.
Sold